A Ouéssé, la communauté peule pratique une forme modernisée de la Goja. Alors que la flagellation est traditionnellement destinée à afficher la bravoure et le stoïcisme, les jeunes de Ouéssé ont récemment commencé par se régler les comptes a travers la flagellation.  Ceci entrainant l’interdiction de la flagellation à Ouéssé. Néanmoins, la communauté célèbre la fête des ignames qui se sanctionne par une musique abondante, des danses traditionnelles et d’acrobaties.
Suivez le montage sur la Goja de Ouéssé
Les femmes passent en premier pour inaugurer la cérémonie. Certaines dansent tandis que d’autres tambourinent des bidons en plastique et des bassins de métal.
C’est rare de voire des femmes tambouriner au Bénin. Ces dames démontrent le rôle important des femmes dans la culture peule.
Voici l’arrivée des garçons, sous le regard des femmes et des enfants.
Ils rebondissent avec énergie.
De sauts, appelés furu, sont l’une tradition des Peuls du Bénin.
Cette danse se fait exclusivement a deux, accompagnée par le son de la flûte.
Les dames nettoient la zone pour le furu.
Des marmites modernes chères sont mises en exposition.
Les garçons font semblant de faire la flagellation au ralenti.
Encore des images pour la série de portraits :
Ces chapeaux blancs battent leur plein à Ouéssé.
Regardez bien cette coiffure significative :
Elle indique le décès récent d’un parent.
Nous avons également visité le marché hebdomadaire à bétail, qui coïncidait avec le jour de Goja :
Comment faire monter un taureau sur un pick-up ?
Comme ça !
Se tenir les mains dans les mains,  c’est un signe d’amitié entre les garçons au Bénin.
Ces gars-là voulait vraiment avoir leurs téléphones mobile en photo.
Incroyable de voir des antennes de téléphonie cellulaire autour des camps peuls.
Très belles photos